Une
deuxième ceinture plus éloignée (environ 5 à
8 kilomètres) est construite pour protéger la ville des
progrès de la portée de lâartillerie qui rendent «
les forts de la panique » peu efficaces. Ces forts à peine
construits doivent être modernisés et cuirassés pour
faire face à nouveau aux progrès de lâartillerie (notamment
lâapparition de lâobus torpille) :
Fort de Dugny*, Fort de Marre, Fort de Haudainville, Fort
de Rozellier, Fort de Vaux, Fort de Bois Bourrus, Ouvrage des Sartelles,
Fort de Moulainville, Fort de Landrécourt, Fort de Chana, Fort
de Choisel, Fort de Douaumont, Fort de Vacherauville (cuirassé
dâorigine).
(*) Fort de la panique
A
partir de 1887, toute lâartillerie à ciel ouvert est retirée
des forts et répartie dans les intervalles (ouvrages) :
Ouvrage de Belle Epine, Ouvrage de Thiaumont, Ouvrage de Froideterre,
Ouvrage de Charny, Ouvrage de La Laufée, Ouvrage de Déramé,
Ouvrage de Saint-Symphorien.. |